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Rapport Écologie & Travail
  • CRÉDITS
  • INTRODUCTION
    • Ecologie et emploi : que nous disent les rapports existants ?
    • Notre proposition : interroger l’articulation entre écologie et rapport au travail
    • Méthode utilisée
  • 1. LE TRAVAIL, GRAND ABSENT DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE
    • 1.1. Des représentations du monde dominées par l'approche « ingénieriste »
      • 1.1.1. La décarbonation, une approche nécessaire mais non suffisante
      • 1.1.2. L’entrée par l’emploi, un risque d’invisibilisation des transformations du monde du travail
      • 1.1.3. Une technicisation des enjeux qui contribue à la précarisation de métiers essentiels
    • 1.2. Quand l’approche ingénieriste modèle les organisations
      • 1.2.1. La domination d’un mode de management gestionnaire
      • 1.2.2. Le « travail empêché », facteur de mal-être organisationnel et de dissonances cognitives
      • 1.2.3. La RSE : un objectif de plus ?
    • 1.3. Des approches qui fragilisent les organisations et freinent leur capacité de changement
      • 1.3.1. Des modèles de financement qui favorisent les risques de projets « hors sols »
      • 1.3.2. La conduite du changement descendante, un haut risque de détérioration du climat social
      • 1.3.3. Sans changement de représentations, pas de transformations pérennes
  • 2. QUAND L'URGENCE ÉCOLOGIQUE VIENT BOUSCULER LES ORGANISATIONS
    • 2.1. Émergence de nouvelles représentations du monde… et du travail
      • 2.1.1. Se penser dans la nature, et non en dehors
      • 2.1.2. Une critique écologique du productivisme
        • Interroger nos cadres de pensée pour revenir à la racine du problème
        • Le travail ne se limite pas à l’emploi productif
        • Changer d’indicateurs pour mesurer la valeur du travail
      • 2.1.3. Quand « bien faire son travail » devient synonyme de « ne pas nuire »
        • Renouer avec les valeurs de l’artisanat
        • Avoir du temps pour soi
    • 2.2. En recherche de sens et de cohérence éthique, que font les travailleurs ?
      • 2.2.1. Ce qui confère vraiment du sens au travail
      • 2.2.2. « Exit » : démission, reconversion ou bifurcation
      • 2.2.3. « Loyalty » : garder son emploi et trouver d’autres espaces de militance
      • 2.2.4. « Voice » : ceux qui veulent changer les choses de l’intérieur
    • 2.3. Les réponses des entreprises (et leurs limites)
      • 2.3.1. La formation, principale porte d’entrée pour les employeurs
      • 2.3.2. Intégration de la RSE au cœur du projet d’entreprise, des expérimentations en cours
      • 2.3.3. Pourquoi est-ce si difficile pour les entreprises ?
        • Un contexte macro plus ou moins favorable à l’engagement RSE en fonction des secteurs d’activité
        • La taille, un facteur discriminant pour l’engagement RSE des entreprises
        • La volonté du dirigeant, un facteur à ne pas négliger mais qui ne suffit pas à lui seul
  • 3. LES CONDITIONS DU CHANGEMENT : CONCRÈTEMENT, ON FAIT QUOI ?
    • 3.1. Agir sur les structures et les modèles de gouvernance
      • 3.1.1. L’efficacité des normes et le pouvoir de la loi
      • 3.1.2. Promouvoir et s’inspirer des modèles basés sur les communs
      • 3.1.3. Former les dirigeants à prendre les décisions autrement
    • 3.2. Soigner les transitions en remettant le travail au centre
      • 3.2.1. Construire le futur du travail à partir des contraintes du présent
      • 3.2.2. Mettre le travail au cœur des organisations, du management aux instances sociales
      • 3.2.3. Des transformations qui engagent l’ensemble de l’écosystème
    • 3.3. Les moments de crise, des opportunités pour repenser l’organisation et construire un nouveau ré
      • 3.3.1. Modèle « bifurqué », résilience assurée !
      • 3.3.2. La puissance des récits
      • 3.3.3. Promouvoir un « travail vivant », une réponse aux métiers en tension ?
  • CONCLUSION
    • Sept pistes de réflexion et d’ouverture
  • ANNEXES
    • Membres du Comité de pilotage
    • Personnes auditionnées
    • Données quantitatives
      • « Définition de la transition écologique – Ensemble des éléments »
      • « Actions mises en œuvre dans la démarche de transition écologique »
      • « Évaluation de l’efficacité des actions mises en place en entreprise »
      • « Importance des défis des entreprises face à la TE »
      • « Bilans des formations en entreprise »
      • « Impact de la transition écologique sur l’activité professionnelle »
      • « Impact d’un positionnement engagé en TE dans le choix d’un employeur »
      • « Importance de transition écologique dans la société »
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1. LE TRAVAIL, GRAND ABSENT DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

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Dernière mise à jour il y a 1 an

1.1. Des représentations du monde dominées par l'approche « ingénieriste »
1.2. Quand l’approche ingénieriste modèle les organisations
1.3. Des approches qui fragilisent les organisations et freinent leur capacité de changement